Pris en tenaille entre les geeks et le sel de la terre

Comme je le supposais, l'action de Florent Gallaire est au droit d'auteur ce que celle de José Bové est à la politique agricole : on commet un acte illicite au nom de la réparation d'un autre tort, et on attire les feux des projecteurs sur la cause défendue, ce qui est le but réel de l'action. Cela peut être efficace ; cela peut également être contre-productif : l'avenir nous le dira.

Lire la suite de l'article sur "l'affaire Houellebecq-Flammarion-Wikipédia" chez David Monniaux

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